La sécurisation des opérations financières est une préoccupation majeure de Groupama AM, d’où la mise en place d’une organisation rigoureuse, avec une direction de l’Audit directement rattachée à la Direction Générale et deux directions, la Direction des Risques Financiers et Performances et la Direction Contrôle et Juridique rattachées au Directeur Général Délégué.
La Direction des Risques Financiers et Performances est en charge du contrôle des risques d’investissement (gestion financière des portefeuilles OPC et mandats). Elle est structurée autour de deux fonctions complémentaires : le contrôle du cadre de gestion (respect des limites d’investissement réglementaires considérées comme spécifiques) et le risk management (maîtrise des risques de gestion financière).
La Direction Contrôle et Juridique chapeaute quant à elle trois entités complémentaires :
Afin de veiller à une parfaite application des procédures internes et de couvrir les différents types de risques, trois comités ont été mis en place :
Ce dispositif structuré permet de sécuriser les opérations et d’apprécier l’exposition des clients aux risques.
L’exécution d’un ordre client fait l’objet de mesures très strictes au sein de Groupama Asset Management et ce, dans un souci de maîtrise et de maximisation de résultat. La politique d’optimisation repose sur cinq engagements :
Cette démarche est conforme à la mise en application de la Directive des Marchés d’Instruments Financiers (Directive MIF : conférence de l’AMF), applicable depuis le 1er novembre 2007.
Politique de sélection et d’exécution 2023
Reporting de Best Exécution RTS 28 – année 2021 – Clientèle retail
Reporting de Best Exécution RTS 28 – année 2022 – Clientèle institutionnelle
Reporting de Best Exécution RTS 28 – année 2022 – Clientèle RTO
A partir de mai 2009, Groupama AM a mis en place une politique d’exclusion en matière d’investissement dans les entreprises reconnues impliquées dans les activités liées aux armes controversées. Sont concernées les activités de production, stockage, distribution et commercialisation de bombes à sous munition (BASM), telles que définis par le Traité d’Oslo de 2008, et de mines anti-personnel (MAP), telles que définies par la Convention d’Ottawa de 1997, ainsi que les armes à uranium appauvri bannies par certaines législations nationales.
Cette politique d’exclusion d’armes controversées s’applique à l’ensemble des portefeuilles sous gestion. La liste interne est communiquée à chaque actualisation à l’ensemble des gestions, aux équipes des risques pour le contrôle d’exclusion effective ainsi qu’au département de la conformité
Politique exclusion armes controversées 2019